Ce comparatif est certifié 100% impartial et respecte notre processus de sélection.
Shokz OpenRun
Principalement conçu pour la course à pied, ce casque remporte notre préférence car il combine un design confortable et résistant avec une qualité sonore convaincante.
Ce casque a une autonomie de 8 heures et il dispose d’une fonction de charge rapide permettant de récupérer 2 heures d’autonomie en seulement 5 minutes. Il se charge par USB-C, ce qui est pratique.
Son design fin et ultra-léger de 26 grammes est très confortable à porter, même durant plusieurs heures. Par ailleurs, son cadre en titane offre un ajustement sûr et un maintien parfait en mouvement. Sa certification IP67 indique qu’il résiste à l’eau, à la sueur et à la poussière, mais il ne convient pas pour autant à la natation.
Lors de nos tests, nous l’avons beaucoup utilisé en faisant du sport. Au niveau des commandes, on compte 3 boutons, dont 1 multifonction sur l’oreillette, qui font preuve d’une belle réactivité.
En ce qui concerne l’audio, il délivre un son clair et puissant avec de bonnes basses. Quelques fuites sonores et vibrations ont lieu à volume maximal, mais pas plus qu’avec les autres modèles que nous avons testés. Les 2 microphones antibruit offrent quant à eux une qualité d’appels décente.
Enfin, son appairage à un smartphone est simple et rapide, et il embarque une connexion multipoint pratique pour le connecter également à une montre connectée si vous le souhaitez.
Nous avons utilisé chaque casque dans différents environnements et dans diverses situations.
Nous avons testé leur résistance.
Nous avons comparé leur maintien et la stabilité de leur connexion.
Nous avons évalué les éventuelles fuites sonores et vibrations ainsi que la qualité de son.
Nous avons passé du temps à explorer chaque application.
Shokz OpenMove
Bien moins cher que les autres modèles de cette marque, il fait quelques sacrifices sur l’endurance et le son, mais il reste une valeur sûre. Il est aussi confortable et simple à ranger.
Disponible dans 2 types de coupe, sa structure ultra-légère de 29 grammes ne génère aucune gêne, même après une longue écoute, et assure un bon maintien lorsqu’on est en mouvement.
Certifié IP55, ce casque convient pour les sports en plein air et résiste à la sueur. Les 2 boutons sur sa branche et le bouton multifonction situé sur son oreillette gauche sont facilement accessibles.
Niveau audio, on retrouve un bel équilibre malgré des basses légèrement en retrait. Par contre, on ressent des vibrations à haute puissance, et on a également constaté des fuites sonores importantes durant nos tests.
Le double micro à réduction de bruit permet quant à lui une bonne reproduction de la voix lors des appels.
En termes de connectivité, ce casque dispose bien d’une connexion multipoint malgré son petit prix. Vous pouvez donc le connecter à un smartphone et une montre connectée en même temps.
Si son appairage s’est révélé assez simple et rapide et que sa connexion est généralement assez stable, on a tout de même subi quelques instabilités en cas d’obstacles durant nos tests, comme au travers d’un mur ou d’une porte.
Enfin, son autonomie de seulement 6 heures est un peu limitée, et on relève l’absence de charge rapide. Il se recharge toutefois en 2 heures à l’aide de son câble USB-C.
Shokz OpenRun Pro 2
C’est le casque à conduction osseuse le plus développé du marché, et il réunit tout ce qu’on attend de lui : qualité sonore irréprochable, design confortable, grande endurance et excellente connectivité.
Pour cette deuxième génération, Shokz a augmenté l’endurance de 2 heures par rapport à la première version du Pro. Désormais, l’autonomie grimpe donc jusqu’à 12 heures.
En plus, il conserve sa fonction de charge rapide et il abandonne son câble propriétaire pour se mettre au goût du jour avec un port USB-C.
Son cadre en titane de 30 grammes est léger, bien fini et doux. Nous l’avons trouvé confortable à porter, même après plusieurs heures d’écoute. Il offre une excellente tenue avec un ajustement sécurisé, et avec sa certification IP55, c’est un modèle idéal pour une utilisation en plein air, mais pas dans l’eau.
Concernant ses commandes, il y a un bouton multifonction sur l’oreillette gauche et 2 boutons sur la branche droite qui sont tous réactifs et simples à utiliser.
Le son délivré par ce casque est excellent, riche en basses et détaillé. Il offre également une bonne puissance, et bien que des fuites sonores soient présentes, le casque limite les vibrations à volume maximal, ce qui rend son écoute encore plus agréable.
Avec ses 2 microphones antibruit, on n’a pas eu grand-chose à reprocher à sa qualité d’appels au cours de nos tests. Les bruits de fond sont parfaitement masqués et la voix est audible en toute circonstance.
Par ailleurs, il dispose d’une connexion multipoint stable, et son appairage est simple. Avec nos tests de visionnage de contenu vidéo, nous n’avons pas vraiment subi de latence.
L’application Shokz accompagnant ce casque ne s’encombre pas d’options inutiles et se montre intuitive. Elle permet de personnaliser davantage l’expérience sonore avec 4 modes audio et un égaliseur manuel.
Enfin, dans l’emballage de ce casque, on retrouve quelques accessoires sympas, à l’image de sa pochette de transport rigide et de ses bandes de réflexion permettant d’être visible dans le noir. Ses embouts aimantés facilitent également son rangement.
Suunto Wing
Il met l’accent sur l’innovation avec ses lumières LED, son contrôle par mouvement et sa station de charge lui offrant une endurance monstre. Il est particulièrement idéal quand on est en déplacement.
Ce casque de 33 grammes est un rien plus lourd que la moyenne, mais il reste léger et solide avec son cadre en titane. Son arceau souple le rend très confortable à porter, sauf avec des lunettes, car les branches se posent sur celles de l’appareil. Mis à part ça, il tient bien en place, surtout avec les grosses têtes.
Son indice de protection IP67 le protège contre la poussière et les immersions dans l’eau de courte durée, mais il ne convient pas pour la natation. La marque a aussi pensé à votre sécurité en intégrant des lumières LED rouges à ce modèle pour vous rendre plus visible dans le noir.
L’une des particularités de ce casque est qu’il peut être contrôlé par des mouvements de tête. Cette fonction n’est pas toujours efficace, donc si vous préférez, le casque dispose également de 3 boutons physiques réactifs et simples, ainsi que d’un assistant vocal.
En ce qui concerne l’audio, la qualité sonore est correcte, avec une bonne puissance, mais elle n’excelle pas toujours, notamment à volume élevé car le son sature un peu. En plus, à cette puissance, nous avons ressenti de fortes vibrations sur les tempes durant nos tests.
Le casque embarque un double microphone qui élimine les bruits de vent jusqu’à 30 km/h. Il masque bien les bruits environnants, mais sachez que la voix a tendance à être voilée dans les milieux très bruyants.
Du côté de l’endurance, il peut tenir 10 heures allumé, mais sa station de charge portable permet de prolonger son autonomie jusqu’à 30 heures. Il dispose aussi d’une charge rapide lui permettant de reprendre 3 heures d’écoute en seulement 10 minutes.
Enfin, ce modèle dispose d’une connexion multipoint stable qui n’engendre pas de grosses latences lorsqu’on visionne du contenu vidéo.
Notre sélection
Notre choix, Meilleur milieu de gamme
Meilleur pas cher
Meilleur haut de gamme
Alternative haut de gamme
Shokz OpenRun
Shokz OpenMove
Shokz OpenRun Pro 2
Suunto Wing
Principalement conçu pour la course à pied, ce casque remporte notre préférence car il combine un design confortable et résistant avec une qualité sonore convaincante.
Bien moins cher que les autres modèles de cette marque, il fait quelques sacrifices sur l’endurance et le son, mais il reste une valeur sûre. Il est aussi confortable et simple à ranger.
C’est le casque à conduction osseuse le plus développé du marché, et il réunit tout ce qu’on attend de lui : qualité sonore irréprochable, design confortable, grande endurance et excellente connectivité.
Il met l’accent sur l’innovation avec ses lumières LED, son contrôle par mouvement et sa station de charge lui offrant une endurance monstre. Il est particulièrement idéal quand on est en déplacement.
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Comment avons-nous testé ?
Nous avons utilisé chaque casque dans différents environnements et dans diverses situations (au sport, au travail, dans les transports, en plein air). Ça nous a permis de juger leur résistance, leur confort, leur maintien, la stabilité de leur connexion, leur réactivité et la praticité des commandes ainsi que leur autonomie (et leur mode de chargement).
Concernant l’audio, nous avons évalué les éventuelles fuites sonores et vibrations ainsi que la qualité de son. Pour ce faire, nous avons utilisé une liste variée de titres (soit des morceaux favorisant les basses, les aigus ou bien les voix). Pour la qualité d’appels, nous avons alterné les endroits calmes et les lieux plus bruyants.
Enfin, comme pour les casques classiques, nous avons visionné du contenu vidéo afin d’examiner la latence, et nous avons passé du temps à explorer chaque application.
Nos résultats de tests
| Nom | Audio | Confort et maintien | Commandes | Qualité d’appels | Autonomie maximale | Résistance |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Shokz OpenRun | 5/5 | 5/5 | 4/5 | 4/5 | 8 heures | IP67 |
| Shokz OpenMove | 4/5 | 5/5 | 4/5 | 4/5 | 6 heures | IP55 |
| Shokz OpenRun Pro 2 | 5/5 | 5/5 | 5/5 | 5/5 | 12 heures | IP55 |
| Suunto Wing | 4/5 | 4/5 | 5/5 | 3/5 | 30 heures | IP67 |
| Creative Outlier Free Pro | 3/5 | 5/5 | 4/5 | 3/5 | 10 heures | IPX8 |
| Suunto Sonic | 4/5 | 5/5 | 4/5 | 3/5 | 10 heures | IP55 |
| Shokz OpenComm 2 UC | 3/5 | 4/5 | 4/5 | 5/5 | 16 heures | IP55 |
Comment choisir son casque à conduction osseuse ?
Voici les critères à considérer pour bien choisir votre casque à conduction osseuse :
- L’ergonomie : le poids d’un casque à conduction osseuse est un élément essentiel pour le confort d’écoute. Même si les modèles de notre comparatif présentent des différences, ils sont tous très légers. C’est au niveau de leur forme et de la disposition des boutons qu’il faut dès lors se montrer attentif.
- La qualité sonore : les casques à conduction osseuse offrent une qualité moindre que les écouteurs classiques. Leur défaut majeur est l’absence de basses que les égaliseurs peinent à compenser. Ils sont en revanche très bons pour reproduire la voix.
- Les fuites sonores : un inconvénient à prendre en considération lorsque vous utilisez un casque à conduction osseuse est que le son est audible pour les personnes autour de vous.
- La batterie : il s’agit d’un critère important si vous voulez utiliser votre casque pendant de longues sessions. Certains modèles ont également recours à un câble prioritaire, ou mettent plus de temps à se recharger que d’autres. Des casques sont parfois fournis avec une station de charge, ce qui est particulièrement pratique pour vos déplacements.
- La résistance : le sport que vous pratiquez peut influer sur le choix de votre casque à conduction osseuse. Certains supportent la poussière et l’humidité, mais d’autres peuvent aussi supporter l’eau. Regardez ainsi quelle certification IP apparaît sur votre modèle.
Autres casques à conduction osseuse qu’on recommande
Creative Outlier Free Pro (49,99 € lors de la publication) : Bien pour le prix, mais pas révolutionnaire.
Il a une bonne autonomie de 10 heures avec un système de charge rapide. Cependant, son câble de charge propriétaire est peu pratique à remplacer, contrairement aux casques qui ont une charge par USB-C.
Conçu en silicone et en titane et certifié IPX8, il résiste entièrement aux immersions dans l’eau. Nous l’avons trouvé aussi stable que confortable sur notre tête, notamment grâce à sa surface douce et à son poids correct de 31 grammes.
Ses 3 boutons de commande sont un peu petits, mais assez réactifs. Il prend aussi en charge Siri et Google Assistant.
Sa qualité sonore est correcte et les vibrations sont uniquement ressenties à volume maximal. Cependant, pour la qualité d’appels, il n’est pas au niveau de certains concurrents. Les communications sont audibles, mais l’audio crache un peu dans les milieux bruyants.
Lors de notre test, nous avons aussi constaté de grosses latences avec le contenu vidéo. Le mode faible latence atténue un peu ce souci, mais ça reste insuffisant.
Côté connectivité, il dispose d’une connexion multipoint, et vous pouvez facilement transférer des fichiers audio grâce à sa mémoire de stockage de 8 Go et son câble.
En bref, bien qu’il ne soit pas encore au niveau de ce que Shokz propose, il fait concurrence à cette marque grâce à son très faible prix et ses performances correctes.
Suunto Sonic (129,00 € lors de la publication) : Un design maîtrisé et une autonomie convaincante à un prix modéré.
Avec une autonomie estimée à 10 heures, ce casque est endurant, et il a l’avantage de charger en seulement 1 heure. On regrette néanmoins son câble de charge magnétique propriétaire plutôt que de l’USB-C.
Son cadre en titane et en silicone de 31 grammes assure un bon maintien en mouvement, et il est agréable à porter, même après plusieurs heures. En revanche, si vous portez des lunettes, les branches de ces lunettes ne sont pas compatibles avec celles du casque.
Certifié IP55, l’appareil est protégé des fortes pluies et de la poussière, mais il ne peut être immergé dans l’eau. Au niveau des commandes, ses 3 boutons physiques sont réactifs et garantissent un contrôle simple.
Cependant, durant nos tests, nous avons été mitigés concernant sa qualité sonore. Sa technologie de basses améliorées offre un son satisfaisant, mais l’audio montre vite ses limites à volume maximal, et on a ressenti de fortes vibrations sur les tempes.
Quant aux appels vocaux, il s’en sort bien en milieu calme, mais la voix devient voilée en milieu bruyant, ce qui a quelque peu gâché nos communications.
Enfin, il dispose d’une connexion multipoint qui s’est toujours montrée très stable et qui nous a permis de visualiser du contenu vidéo sans la moindre latence.
En conclusion, avec son endurance intéressante, sa bonne tenue, son contrôle simple et sa connexion fiable, c’est une option à considérer dans le milieu de gamme.
Shokz OpenComm 2 UC (239,95 € lors de la publication) : l’outil indispensable pour vos appels vidéo.
Ce modèle est un rien plus lourd que la moyenne en raison de son micro à perche intégré, mais nous l’avons tout de même trouvé stable sur la tête et agréable à porter pendant de longues visioconférences.
Certifié IP55, il résiste aux fortes pluies et à la poussière, mais il n’est pas submersible. Tous ses boutons sont réactifs et parfaitement accessibles.
Le microphone est pivotant, et on a apprécié son bouton de sourdine qui permet de le passer en Mute.
Côté qualité sonore, ce n’est pas le plus dynamique pour vos écoutes musicales, mais il bénéficie d’un son puissant et d’une excellente qualité d’appels grâce à son microphone qui supprime parfaitement les bruits environnants en milieu bruyant.
Par ailleurs, nous n’avons pas subi de latence lors des appels vidéo. Ceci est en partie dû à son port USB-A ou C, au choix, qui rend la connexion plus simple et plus stable avec les ordinateurs.
Il dispose aussi d’une connexion Bluetooth multipoint pratique pour le connecter simultanément à plusieurs appareils.
Pour ce qui est de l’endurance, il a une excellente autonomie avec jusqu’à 16 heures de conversation. En plus, sa fonction de charge rapide permet de récupérer 2 heures d’appels en seulement 5 minutes grâce à son câble USB-C.
En bref, avec sa qualité d’appels impressionnante, sa bonne endurance et sa connexion ultra-stable, c’est une excellente solution de communication.
Autres casques à conduction osseuse récemment testés
Tayogo S2 (41,87 € lors de la publication) : Proposé à un prix compétitif et muni d’une connexion multipoint, ce casque n’est toutefois pas le moins encombrant au niveau des tempes. Par ailleurs, certains sacrifices ont été faits, notamment sur l’autonomie (seulement 6 heures), et surtout sur la qualité sonore et sur la puissance. La qualité d’appels est également peu convaincante, et il y a eu quelques instabilités au niveau de la connexion.
Sanoto DG08 (49,99 € lors de la publication) : Son prix abordable, son excellente tenue et sa légèreté ne nous ont pas fait oublier que sa qualité sonore n’était pas à la hauteur avec ses basses médiocres, et son manque de maîtrise et de puissance. On a aussi constaté de grosses latences avec le contenu vidéo. De plus, il se décharge vite, et est moins pratique à recharger.
Shokz OpenComm UC (129,99 € lors de la publication) : Malgré sa réduction de prix, sa grande endurance en conversation et son excellente qualité d’appels avec son microphone à perche, ce modèle est désormais devancé par une nouvelle génération plus performante.
Shokz OpenSwim (159,00 € lors de la publication) : Entièrement waterproof, ce modèle se destine exclusivement à la natation. Très agréable à porter et stable avec un bonnet ou des lunettes de piscine, il n’est en revanche pas intéressant pour d’autres usages, et pour cause : il est dépourvu d’options. En effet, il n’y a pas de microphone, ce qui empêche de passer des appels mains libres et sa connectivité est nulle en l’absence de connexion Bluetooth, ce qui vous oblige à charger vos fichiers MP3. Il manque également une fonction de charge rapide.
Shokz OpenRun Pro (189,95 € lors de la publication) : Lorsqu’il est sorti, ce modèle a été l’un des best-sellers du marché. Aujourd’hui, la seconde génération dépasse la première en se perfectionnant encore plus, ce qui évince à présent cette première version de notre comparatif, d’autant plus que son prix n’a pas beaucoup diminué.
Creative Outlier Free : Actuellement indisponible.
Philips TAA6606 : Plus disponible.
SoundPEATS RunFree Lite : Plus disponible.
J’ai utilisé presque deux ans le modèle Aeropex. Cependant les cellules se sont dégradées et le son est devenu inaudible car les vibrations induites ressemblaient à des grésillements très désagréable. Si vous achetez ce produit, exigez donc une facture papier. Acheté dans une grande enseigne du sport, le ticket de caisse thermique s’est effacé et malgré la carte de fidélité, cela n’a pas permis de faire retrouver ma preuve d’achat. Donc poubelle en moins de deux ans. A ce prix, c’est intolérable.